Psychosomatique O

Les Orteils.

Les orteils.

Selon le “Dictionnaire des codes biologiques des maladies » de l’asbl Téligaté :

  • Etym. : Latin : articulus = articulation, jointure des os.
  • Syn. : doigt de pied.

Définition :

  • L’ensemble des métatarses et des phalanges font partie de l’avant-pied.
  • Chaque orteil est formé de trois phalanges (= segments articulés de l’orteil), sauf le gros orteil qui n’en compte que deux et ils viennent juste après la ligne des métatarses.
  • Rôle important lors de la marche.
  • Le tarse et l’avant-pied ont une fonction de torsion en hélice ou rotation, et en courbure en dedans ou en dehors.

Conflits :

  • Peur du futur.
  • Orteil (art-œil) : Désir Peur Ressenti Conflictuel avec l’art visuel.
  • Fusion à la mère ou problème au père
  • Stress de chercher, d’aller quelque part.
  • Gros orteil : Ego : Je veux, l’autorité que j’ai sur ma vie.
  • Orteil 1 : décision, réflexion, détermine ce que nous sommes.
  • Orteil 2 : orteil du stockage et de l’entreposage. Sujet à des accumulations de toxines qu’il traduira par des cors, durillons, ampoules, … correspond à la propension à accumuler des problèmes dans la vie.
  • Orteil 3 : traduit les difficultés relationnelles, la sensation de ne pas être aimé. La jalousie et la solitude.
  • Orteil 4 : sentiment d’injustice. Juge qui décide et qui condamne. Somatisation quand le corps pense, cherche, hésite.
  • Orteil 5 : orteil du territoire, conflit de survie. C’est celui qui teste le territoire notamment en le percutant. Souvent sujet à des chocs et des percussions.

Selon « Le Grand Dictionnaire des malaises et des maladies » de Jacques Martel :

  • Les orteils représentent les détails de l’avenir.
  • Si je vis de l’insécurité face à cela, des crampes surgissent, et si je vis de la culpabilité, je peux me cogner l’orteil, me couper (s’il y a perte de joie) ou me blesser plus sévèrement (orteil cassé, fêlé).
  • Si j’ai un oignon, qui est une déformation du gros orteil, il y a un conflit à un niveau très profond. 
  • Cette partie du pied correspond à la période des quelques semaines suivant la conception et indique une faiblesse dans l’engagement à être vraiment ici (en vie).
  • L’oignon apparaît généralement au moment de vivre une relation avec un partenaire ou un parent que je trouve très dominant.
  • Comme je laisse l’autre prendre les décisions, je fuis ma responsabilité devant mes propres décisions.
  • L’expression « Mêle-toi de tes oignons » exprime bien le fait que je trouve que des personnes de mon entourage s’occupent de mes affaires et que cela ne les regarde pas, à moins que ce soit moi qui me fasse des reproches de m’occuper indirectement des affaires des autres.
  • L’oignon peut disparaître si je me prends en main, j’assume mes responsabilités, me permettant ainsi de vivre pleinement ma vie.
  • Comme les orteils sont la partie de mon corps qui va en premier de l’avant, des orteils vers le bas peuvent indiquer une insécurité à aller de l’avant, un désir de « s’agripper au sol » pour éviter d’avancer.
  • J’ai donc tendance à rester sur place.
  • Je m’empêche « d’entrer dans la vie ».
  • Les orteils vers le haut, eux, indiquent la tentative de m’échapper de la vie, de m’élever vers les réalités plus abstraites que terrestres.
  • Les orteils crochus m’indiquent une grande confusion dans la direction à prendre et une absence de liberté et de clarté intérieures, ce qui m’amène à vouloir fuir.
  • L’orteil en marteau m’indique un stress et une répugnance à aller de l’avant.
  • Cela peut être aussi la peur d’une façon abstraite ou peu structurée.
  • Pour connaître la signification métaphysique de chacun de mes orteils, je peux me référer à la signification de chacun de mes doigts en commençant par le pouce, pour le gros orteil, pour finir par le petit doigt, l’auriculaire, pour le petit orteil.
  • Il suffit simplement de transposer la signification des doigts, qui sont les détails du quotidien, vers celle des orteils qui sont les détails de l’avenir.

Selon « La clef vers l’autolibération » de Christiane Beerlandt :

Concordance psychologique et affections, en général :

  • Tu es certain de la directionoù tu veux aller, et en même temps tu gardes ta souplesse pour prendre un tournant, tu restes ouvert.
  • Tu fais ton choix avec résolution, les deux pieds solidement sur terre.
  • Tu es capable de t’élever au-dessus du chaos, de la multiplicité, non pas en fuyant dans le ‘spirituel’ ou dans les ‘rêves’, mais en embrassant tout du regard d’aigle sage de ton JE Conscient, de la conscience de toi : tu parviens à une vue d’ensemble claire ; tu te tournes avec souplesse dans toutes les directions possibles tout en étant solide sur tes assises.
  • Tu entres tes griffes dans la vie terrestre.
  • Tu manies tes énergies intérieures et tes forces terrestres de façon flexible, pour réaliser tes idéaux dans la vie.
  • Tu ne refoules pas tes sentiments ; tu ne fuis pas dans une atmosphère non-terrestre ; tu participes joyeusement à la fête terrestre : tu ne méconnais pas l’aspect physique.
  • Tu prends en main le gouvernail, tu tiens la barre avec assurance ; tu considères une multitude de détails et de directions possibles.
  • Est-ce que les arbres cachent la forêt ?
  • Est-ce que c’en est trop pour toi et fuis-tu dans une atmosphère irréelle, ou oses-tu te confronter à la turbulence de la vie, avec résolution et dynamisme ?
  • Vas-tu droit au but, sans douter de toi ?
  • Crois-tu que tu dois te défendre de façon agressive, te sens-tu menacé ?
  • N’oses-tu pas reconnaître ta nature authentique, tel que tu es, t’enfuis-tu loin de toi, de sorte que seules tes traces subsistent ?
  • Impuissance, indécision, résistance ?
  • Es-tu trop dur pour toi, brusques-tu certaines choses, au lieu de te tourner avec flexibilité vers la direction dont tu sens intuitivement qu’elle est juste ; est-ce que les aspects ‘masculin’ et ‘féminin’ vivent en dysharmonie ?
  • Est-ce qu’une logique dure, un harnais serré dominent ton existence ?