Douleur aux Genoux

Douleur aux Genoux.

= Le genou est une articulation.
= Nous nous agenouillons sur nos genoux.
= Articulation servant à amortir les chocs en cas de forte pression.

 Peut signifier que :

• Les genoux montrent :
  – notre degré de flexibilité.
  – notre degré d’humilité.
  – notre capacité à nous abandonner à la hiérarchie normale, à ce qui est au-dessus de nous.
  – nos compétences en matière de mouvement.
  – nos aptitudes à prendre une direction.
• Si les genoux sont touchés :
  – nous nous dévalorisons par rapport à notre physique.
  – nous nous sentons diminués par rapport à nos performances sportives.
• En cas de problème pour plier les genoux :
  – Nous éprouvons une certaine rigidité.
  – Cela peut être dû à un ego fort et orgueilleux.
  – Mieux notre genou pliera, plus nous nous montrerons humbles et flexibles.
• Le maintien de notre position sociale et de notre statut dépend de nos genoux.
• En cas de problèmes aux genoux, nous devons nous poser les questions suivantes :
  – Est-ce que je m’entête ?
  – Suis-je rigide ?
  – Est-ce que je me montre orgueilleux ?
• Quand les genoux ne répondent plus :
  – Est-il possible que je vive un conflit avec l’autorité (soit mon boss, mes parents, etc.)
  – Suis-je apeuré à l’idée de mener des actions me permettant d’avancer ?
  – Est-ce que je me sens obligé de « plier » devant une certaine situation.
  – Ai-je l’impression de devoir me soumettre face à une situation ou une personne.
• En cas de fluides au niveau des genoux :
  – Est-ce que je me retiens émotionnellement contre le flux naturel des événements (résistance au mouvement/changement) ?
• Quand les genoux sont endommagés, nous pouvons vivre :
  – de l’arrogance
  – de l’entêtement
  – de la résistance.
  → Il deviendra difficile de faire des progrès et d’évoluer car la rigidité et la douleur nous en empêcherons.
• Quand nous nous dévalorisons par rapport à notre physique ou nos performances sportives
  → Cela augmente les risques de se blesser aux genoux.
• Quand il y a inflammation ou douleur, cela peut indiquer une rigidité face :
  – à l’autorité
  – à un système de lois en vigueur.
  → Cela nous donne l’impression de devoir obéissance (ex. Face à un parent, un prof, un patron, voire même un conjoint, etc.) et nous n’en avons pas envie du tout !
  → Il y a ici conflit mental amenant une obstination égoïste refusant de nous laisser aller, de nous donner.
• En cas de dommages osseux ou des tissus mous :
  → Profond conflit intérieur impliquant la notion d’abandon, mais à un niveau plus profond : c’est-à-dire l’abandon de notre ego et de notre orgueil.
• En cas d’hygroma(= inflammation des bourses séreuses autour de l’articulation, bourses contenant du liquide synovial permettant de « huiler » l’articulation) :
  → Fréquent chez les religieuses et les femmes de ménage.
  → Conflit intérieur entre notre spiritualité et les conséquences qu’elle a dans notre vie.
  → Chaque fois que nous nous mettons à genoux, la douleur nous rappelle ce conflit intérieur.
  → Nous avons un besoin impérieux de décider par nous-même de ce que nous voulons dans la vie.
  → Nous sentons que nous devons faire des changements appropriés.

Objectifs :

• Pour ne plus souffrir de problèmes aux genoux :
  – ouvrons-nous au monde qui nous entoure.
  – changeons notre manière d’être sur certains aspects.
• Acceptons de nous « agenouiller » devant :
  – quelqu’un
  – une situation
  – la vie en général.
  → Cela nous permettra de recevoir de l’aide.
  → Cela nous permettra de percevoir une nouvelle réalité qui nous était inaccessible jusque-là, vu que nous ne voyions que notre propre univers.
• Acceptons de nouvelles responsabilités: nous avons tout le potentiel nécessaire pour les assumer.
• Si nous ressentons de la frustration et de la culpabilité :
  → Prenons conscience de notre besoin d’avoir toujours raison.
  → Prenons conscience de notre désir insatiable de puissance et de pouvoir au niveau social.
  → Arrêtons de nous questionner sur nos vraies valeurs.
  → Le pouvoir du cœur nous permettra de revenir à l’essentiel au lieu de laisser la raison tout contrôler et décider.

Références :

• Christiane Beerlandt : « La clef vers l’autolibération ». Encyclopédie de la psychosomatique.
• Jacques Martel : « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Éditions Quintessence.