Psychosomatique P

Les poils sur le corps.

Les poils sur le corps.

Abondance de Poils sur le Corps, Selon « La clef vers l’autolibération » de Christiane Beerlandt :

  • Une abondance de poils sur le corps n’est pas une symbolique ‘malsaine’ : cela indique des motifs vitaux enthousiastes, des énergies qui se tournent vers l’extérieur, produites par l’Essence, par le « Noyau Vital », qui est fort comme un Lion, joueur comme un enfant, authentique comme un animal.
  • Ces forces primitives inconscientes pourront se manifester d’une manière dure, agressive, costaude, si elles ne sont pas dirigées de façon Consciente.
  • Si un être humain se laisse trop mener par ses forces inconscientes et instinctives, s’il se laisse gouverner par des énergies primitives (qui peuvent se traduire en agressivité, en actes compulsifs, en émotions) au lieu d’être Consciemment à la barre lui-même, une pilosité excessive « anormale » sera possible.
  • Par la prise de conscience toutes les forces bouillonnantes se feront jour librement, sans être réprimées, et sous la direction du JE Conscient elles seront vécues pleinement, de façon saine, transformées en énergies créatives et pleines de joie.
  • Les impulsions créatrices dans l’individualité primaire de chaque être humain, sont représentées par les organes et glandes sexuelles : à ces endroits on trouve par conséquent le symbole de cet élan créateur primitif, qui est issu de l’inconscient : le poil et le cheveu ; la potentialité est convertie en réalisation dans la matière.
  • Il est très important de ne pas « rétrécir » ton existence, de vivre pleinement toutes tes forces, sous la supervision du JE conscient, en action, en créativité, en expériences affectives…
  • Ne laisse pas diriger ta vie par des forces agressives incontrôlées, mais en même temps ne réprime pas les énergies spontanées qui se présentent : laisse-les couler librement, digère-les, crée, transforme-toi.
  • Tends vers un équilibre entre « le mental et le sentiment », dans une expérience de conscience où il y a de la place pour la détente, la jouissance, le travail, la créativité.
  • Équilibre également entre les qualités douces, gentilles, enfantines et les qualités Actives, vigoureuses.
  • Une pousse saine des cheveux et des poils en sera la conséquence.

Les Poils, selon le « Dictionnaire des codes biologiques des maladies » de l’asbl Téligaté :

Définition :

  • Les poils proviennent d’une invagination tubulaire de l’épiderme qui s’enfonce dans le derme.
  • Cette invagination épidermique, constituant la gaine épithéliale du poil.
  • Il est formé par la multiplication de cellules du bulbe, qui sont poussées vers l’extérieur.
  • La partie visible du poil est constituée de cellules mortes.
  • On distingue : la tige (partie au-dessus de la peau), le follicule (racine), la glande sébacée et le muscle arrecteur (muscle lisse)(arrecteur = horripilateur).
  • La tige est composée de kératine (qui donne la couleur du poil) et de mélanine (qui donne l’aspect du poil).
  • La glande sébacée fabrique le sébum pour la protection de la tige et de la peau du cuir chevelu, il graisse le cheveu, ce qui le rend plus résistant. C’est une protection contre les agressions.
  • Le muscle arrecteur (situé entre le follicule pileux et la peau) redresse le poil et élève la peau autour du poil = chair de poule.
  • Ils sont stimulés par fibres nerveuses sympathiques en réponse à la peur, au froid : les poils dressés captent l’air et agissent comme une couche isolante.
  • C’est un mécanisme de réchauffement (en cas de froid) efficace, (en particulier quand il s’accompagne aussi de frissonnement = contraction involontaire des muscles).
  • Le muscle arrecteur du poil se contracte et se détend également suivant nos états émotifs.
  • Inversement, l’extrême sensibilité du poil nous fait vivre des émotions, lorsqu’une personne nous touche.
  • Le poil nous aide à ressentir l’état émotif de celle-ci : la pilosité permet une communication émotive par le toucher.

Fonction :

  • Protection et Sensibilité : Grâce aux récepteurs tactiles adaptés à la douleur et au muscle arrecteur.
  • Ils constituent une barrière, filtre (poils du nez par exemple) contre les agressions (poussière, insectes…).

Conflits :

  • Extrême besoin de contact (de sentir le contact, besoin d’être touché), on va remonter jusqu’à l’autre.
  • Excès de poils : « Le poilu est mort ».
  • Perte de poils : séparation. Perte de protection avec une atteinte à son intégrité. Dévalorisation esthétique. On est coupé de ses émotions.
  • Poils dressés : émotions, peurs…

Expressions :

  • « Avoir un poil dans la main » : être fainéant.
  • « Chercher le poil dans l’œuf » : pinailler.
  • « Mauvais ou bon poil (être de) » : de mauvaise ou de bonne humeur.
  • « Reprendre du poil de la bête » : se reprendre.
  • « A un poil près » : à très peu de chose près.
  • « Avoir quelqu’un sur le poil » : devoir le supporter.
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