Le bruit te dérange.

Le moindre bruit te dérange.

Selon le « Livre des signaux » de Christiane Beerlandt :

• Il semble que tu as des sentiments inconscients de culpabilité et de honte : c’est le sentiment de culpabilité originel, du fait que TU ES, EN TANT QUE « JE-L’ÊTRE-HUMAIN », et que tu quittes les bras de la source originelle pour te manifester en tant que JE.
• Cela ne te réussit pas vraiment.
• Tu te retires… mais les « bruits terrestres » te rappellent ici !
• Tu ne dois plus te retirer : les bruits sont comme un appel, pour que tu te ‘montres’, pour que tu paraisses sur les planches du théâtre de la vie, pour te manifester !
• Tu as le sentiment désagréable, quoique ‘vague’, d’avoir commis une mauvaise action ; tu as des sentiments de culpabilité inconscients, une sorte de honte ; peut-être que la conscience te ronge.
• Dans le pire des cas, la transpiration, la panique, l’angoisse et la nervosité peuvent se manifester ensemble.
• La nervosité et la tension croissent parce que tu ‘retires’ tes énergies, parce que tu les contiens.
• Tu crois que tu as commis une mauvaise action ; tu crois peut-être que tu as commis une bévue, ou du moins quelque chose dont tu devrais avoir honte, penses-tu.
• Il ne doit même pas s’agir ici d’un fait ou d’un événement ; il peut s’agir d’un « sentiment » général : un sentiment de culpabilité, de honte, d’aveu ou de timidité qui est implanté dans ton monde affectif, dans ton système de convictions… parce qu’au fond de ton cœur, tu crois que tu ne réponds pas à ce que la vie te demande : tu veux pour ainsi dire te retirer de ton ÊTRE. 
• Possible que tu croies que le fait d’ ‘être fortement présent dans la chair, dans la matière’, est un péché à l’égard de l’ ‘esprit’, ou tu éprouves que beaucoup de jouissance et de désirs sont présents en toi.
• Tu rougis et tu voudrais te tapir, honteux de toi-même.
• Tu préfèrerais rester ‘blanc’.
• Et cela n’est pas du tout nécessaire !
• Au contraire : les bruits t’incitent à une ‘rougeur’ saine et vive : entre dans la vie !
• Ne te cache plus !
• Laisse-toi naître entièrement, sur terre… en tant que JE de chair et de sang.
• Laisse tes énergies couler et circuler librement !
• Alors, les bruits ne te gêneront plus.
• Il est bien possible que tu aies honte de la JOIE que tu peux ressentir en toi-même et à cause de toi-même.
• Tu n’oses pas vraiment être toi-même, tu n’oses pas donner pleinement corps à toi-même, sous la forme de l’être humain gai et chantant.
• Avec de sentiment de honte ou de culpabilité, tu te coupes tes propres doigts pour ainsi dire.
• On dirait que tu te punis toi-même.
• La joie est refoulée ; le plaisir de ton propre Être est réprimé ; tu retiens tes énergies A L’INTERIEUR, au lieu de les claironner haut et fort, avec gaieté.
• La conséquence est que ton système énergétique s’engorge ; tes canaux se bouchent.
• De cette façon, tu coupes dans ta propre peau.
• TU TE FAIS (du) MAL A TOI-MÊME.
• Même s’il te semble que c’est le monde extérieur qui coupe dans ta peau – ce sentiment n’est qu’une conséquence-, c’est toi qui te fais souffrir et qui te raccourcis en coupant, pour ainsi dire.
• Pourquoi est-ce que tu ne t’autorises pas à être celui que tu es, à te manifester comme tu te sens intérieurement, à céder à ta joie et à tes sentiments profonds de gaieté, et à les extérioriser d’une manière expressive, désinvolte et naturelle ?
• Tu resserres ta propre personne ; tu fermes le robinet ; tu te retiens.
• Il n’y a pas de passage ; mais de cette façon, une accumulation de forces vitales saines se forme : parce que tu te freines continuellement toi-même, parce que tu arrêtes ta progression… parce que tu gardes tes énergies à l’intérieur et parce que tu les laisses rentrer en toi-même, parce que tu n’oses pas te manifester comme tu te sens dans ton for intérieur.
• Le feu terrestre rentre en toi ; des forces qui sont trop rouges se déposent dans ton corps, dans ton système intérieur.
• Tu bloques la vie en toi.
• Ouvre donc les fenêtres et donne-toi un exutoire libre ; laisse-toi EXISTER … PLEINEMENT, en tant que JE !
• Jette-toi vers l’extérieur et laisse-toi être comme ta nature te le fait sentir.
• Ne te retire pas en toi-même.
• Exprime-toi !
• Chante, danse, manifeste ton essence dans une expression libre.
• Oui, tu peux exister, tu es bien tel que tu es, tant physiquement qu’au niveau de l’âme.
• Tu ne dois pas du tout te contenir ou te freiner.
• Tu dois arrêter de t’en faire accroire, de te causer inconsciemment des sentiments de honte et de culpabilité par tes convictions dès que tu te permets de Vivre vraiment !
• Ne te refuse plus à te montrer tel que tu es, à entrer dans la vie.
• Cesse de te donner – pour ainsi dire – des coups sur la tête, et reconnais ta grande valeur ; autorise-toi à exister dans ton corps terrestre… et laisse le sang dans tes veines couler joyeusement.
• Jouis de ta présence terrestre, jouis de la Vie, jouis du fait ‘d’être’.
• Fais-toi entrer entièrement dans la vie, en tant qu’être humain ‘d’âme et de corps’, sans te freiner !
• La chair n’est pas faible.
• Elle est forte, incommensurablement puissante, surtout lorsqu’elle est gouvernée par le cœur, par l’amour et par la gratitude envers le fait de pouvoir exister en tant qu’Être Humain sur Terre.
• Voilà, saisis ta chance et réalise-toi… 
• Ne cache plus ta nature, manifeste-la rondement.
• Fais émerger ta personne… avec une fierté saine, en tant que créature divine qui s’est incarnée dans la chair !
• Ne te tiens plus tapi en toi-même ; ne te contiens plus…
• Sonne la trompette, fais-toi entendre !
• En cette manifestation-de-toi, expressive et pleine de joie, en cette expérience DANS la vie…, tu éprouveras beaucoup de plaisir, avec les autres, à produire ensemble des bruits et des sons terrestres.
• Et tu marches avec eux dans la fanfare joyeuse…
• Les bruits terrestres sont un régal pour tes oreilles, parce que tu ne te sens plus ‘mal à l’aise’ en toi-même…
• Tu t’es entièrement intégré dans ton corps ; tu es fier de pouvoir être en tant que JE.
• Tu n’as plus les nerfs tendus parce qu’à présent, tu engages et utilises joyeusement tes énergies !