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Le Fromage Parmesan.

Le Fromage Parmesan.

Selon « La symbolique des Aliments » de Christiane Beerlandt :

  • Le Parmesan symbolise le oui total ou l’abandon à ce que la Vie demande chez l’être humain.
  • Le Parmesan veut réaliser avec la plus grande pureté ce qui doit s’accomplir dans l’optique d’une vie sincère.
  • Il fait confiance, s’abandonne aveuglément au ‘mouvement’ qui doit se produire dans la direction du Chemin.
  • Le Parmesan sait se placer au-dessus de ses émotions, en est maître et, en tout cas, il fait en sorte que ni la peur ni la méfiance ne surgissent.
  • Il sait gouverner ses pensées et ses sentiments et éliminer tout élément imaginaire qui pourrait influencer négativement son état d’esprit.
  • De la sorte, il ne laisse pas l’ombre d’une chance à des visions ou à des pensées d’échec, de blessure, de chute, etc.
  • Il s’ancre dans son ‘être’ à son niveau le plus élevé et ne donne au doute aucune possibilité de s’infiltrer dans son cœur, ni dans le flux de ses pensées.
  • Le Parmesan sait poser la couronne royale sur sa propre tête, assume en permanence sa dignité et ne se laisse pas tirer vers le bas.
  • Il occupe sa place de façon claire et sincère et regarde les choses d’en haut, dans l’équité.
  • Il est semblable au juge noble et sage, et il laisse aller ce qui doit s’en aller.
  • Il laisse sortir, laisse passer, montre la porte si nécessaire.
  • Qu’il s’agisse littéralement de nourriture, de visiteurs ou d’éléments indésirables.
  • Les déchets ainsi que toutes les facettes indignes sont éconduits.
  • Le Parmesan préfère encore rester seul sur son noble siège, que de devoir consentir à des compromissions lorsque ceci implique de porter préjudice à ‘ce qui est pur’.
  • Il se tient, lui et son foyer, à l’abri de tout élément négatif ou avilissant pour l’être humain, de tout ce qui ne sert pas la nature, des éléments qui tendraient à souiller la vie.
  • Les yeux mi-clos, il tient la tête haute dans la Conscience, et son être est habité par la sagesse.
  • Tel est l’être humain qui s’apparente au Parmesan.
  • Celui qui a faim de Parmesan veut quelquefois forcer les choses, avec impétuosité, convoitise ou impatience.
  • Si par exemple il veut absolument et en tout hâte arracher le couvercle d’une boîte solidement fermée, que celle-ci lui résiste et qu’il s’en irrite, … alors le Parmesan lui enjoint : « Lâche prise. Cherche tout en toi-même. Ouvre plutôt ton propre contenu. Regarde profondément en toi-même et laisse circuler ce flux d’or de ton contenu.
  • Au tréfonds de toi, laisse aller, laisse passer.
  • Lâche prise vis-à-vis des gens et des choses, ne tente pas de forcer les événements, ni dans les faits, ni dans le temps.
  • Apprends à savourer le moment présent, abandonne-toi à cette magnifique sphère de vie et dissocie-toi de la partie de toi qui refuse de lâcher prise et qui voudrait s’emparer des choses.
  • Ceci ne mène nulle part, si ce n’est à la vacuité. »
  • L’homme se rend insuffisamment compte de sa véritable valeur en tant qu’Homme-Roi.
  • Il regarde misérablement son trône à moitié en morceaux déjà et qui, n’ayant été ni soigné ni entretenu, menace de s’écrouler tout à fait.
  • Le Parmesan demande à l’être humain qu’il se rejoigne dans son JE le plus noble et le plus élevé, qu’il cesse de se voir comme incomplet ou comme une créature malmenée, comme quelqu’un souffrant de déficiences ou qui se sentirait dépité, lésé par l’existence.
  • Il se considère alors comme un être pitoyable : « Pauvre de moi, regardez donc. »
  • « Où est la conscience de ta valeur ? » lui demande le Parmesan.
  • « Attaches-tu peut-être trop d’importance à ton apparence aux yeux des autres ? Te coinces-tu dans un système de valeurs superficielles où prédomine le culte d’une vaine apparence extérieure ? Déduis-tu la valeur de l’être humain des vêtements qu’il porte, de la quantité de clinquant dont il s’affabule ? »
  • « Sache que les vraies valeurs de l’être humain résident au plus profond de lui-même, chez toi aussi. Ne t’abandonne qu’au véritable JE profondément tourné vers l’intérieur. Plisse un instant les yeux jusqu’à ce qu’ils se réduisent à une fente et ressens … ressens à travers ta conscience supérieure qui tu es et où se situent les véritables valeurs qui sont tiennes en tant qu’être humain. »
  • Cet aliment te demande d’entrer intérieurement et intimement dans un contact élevé avec ton contenu essentiel le plus profond. 
  • De ressentir comme il est bon d’habiter l’essence de ton être.
  • Ainsi par le Parmesan : « N’exige rien, ne demande ni n’attends rien ; cela n’empêche pas, évidemment, qu’il soit bon d’aspirer au meilleur. Mais n’essaie pas de forcer les choses ‘d’en bas’, à partir d’un niveau inférieur ; que la personne qui se vit comme pitoyable ne cherche pas des solutions et des remplissages à l’extérieur d’elle-même. Qu’elle ne se sente pas victime, ni défavorisée. Chacun est unique et a ses caractéristiques originales et ses talents individuels. Nul n’est supérieur ou inférieur à quiconque. »
  • « Laisse tout se produire à son heure, ne tente pas de forcer quoi que ce soit. Et surtout : établis un contact intense avec ton propre contenu chaleureux. Ressens-le. Regarde et éprouve, au plus profond de toi-même. »
  • La personne qui est attirée par le goût du Parmesan délaisse trop son contenu, elle n’est pas suffisamment consciente de tout ce dont elle dispose en réalité, et regarde uniquement ce qui n’est pas là ou ce qui fait défaut.
  • Avec une sorte de sentiment de dépit ou de ‘c’est dommage’.
  • Elle fera bien de porter son regard sur l’essentiel, qui lui est bien là, sur son précieux contenu primordial.
  • De parvenir à un contentement empreint de gratitude devant toutes les potentialités et tous les talents qui l’habitent.
  • D’amplifier en elle la joie qu’inspire son propre ‘être’.
  • De s’élever dans son sentiment, de se mettre consciemment en résonnance avec l’être de son JE dans ce qu’il a de plus noble.
  • Alors disparaissent le dépit, les plaintes, le sentiment d’incompétence ou de manque.
  • Le Parmesan demande à l’homme : « Ne regarde pas trop par-dessus le muret, chez les autres. Ne sois pas jaloux ou affligé, n’envie pas, mais balaie sur ton propre seuil et prends soin des affaires qui te concernent. A chaque moment de ton existence, tu auras sous la main ce qui est bon pour toi que tu aies. Détache-toi de tout désir de posséder, de toute convoitise, de toute forme d’insatisfaction ; sois dans la gratitude pour ce qui est là, pour le fait même que tu es. Sois présent à la valeur la plus haute de ton JE ; remplace toute forme de ‘vouloir avoir et de regretter ce qui manque’ par l’’être’, et tu te sentiras heureux. Sois conscient de ta vraie valeur et vis selon celle-ci. Conduis-toi à partir de ton cœur et place sur ta tête la couronne d’être humain digne, pur et noble : c’est un sentiment de dignité vécu de l’intérieur, et en aucune façon bâti sur ce que tu as, ce que tu possèdes, comment tu es habillé, de quoi tu as l’air aux yeux d’une société éphémère. »
  • Le Parmesan réclame les valeurs les plus fondamentales et durables au fond de toi-même.
  • Regarde cette essence et porte la haut en ton cœur, dans une saine fierté.
  • Ne t’attarde plus aux soi-disant manques, éprouve de la joie pour ce qui est, contemple-toi toi-même, ainsi que le monde qui t’entoure, avec les yeux de la Vie.
  • Sois heureux de tout ce qui ‘est’ dans ta vie, sois heureux du bonheur des autres …
  • Ceci n’est possible que si tu te branches pleinement sur la fréquence de cette gratitude en l’ « être » pour qui tu es, la gratitude pour ta vraie valeur, de corps et d’âme, unique et à nul autre pareil.
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