La dépression.
La dépression.
Selon « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies » de Jacques Martel :
- La dépressionimplique une profonde tristesse intérieure, une accumulation d’émotions refoulées provocant un conflit entre le corps et l’esprit.
- Cette maladie est reliée à un événement marquant de ma vie.
- La dépressionse traduit par de la dévalorisationet de la culpabilitéqui me rongent de l’intérieur.
- Si je suis dépressif, je me sens misérable, moins que rien.
- Je vis dans le passé constamment et j’ai de la difficulté à en sortir.
- Le présent et l’avenir n’existent pas.
- Il est important d’effectuer un changement maintenant dans ma façon de voir les choses parce que ce n’est plus comme avant.
- La dépressionest souvent une étape décisive dans ma vie (par exemple : l’adolescence) parce qu’elle m’oblige à me remettre en question.
- Je veux avoir une vie différente à tout prix.
- Je suis bouleversé entre mes idéaux (mes rêves) et le réel (ce qui se passe), entre ce que je suis et ce que je veux être.
- C’est un rééquilibrage intérieur (peut-être chimique ou hormonal) et mon individualité est méconnaissable.
- Je me sens limité dans mon espace et je perds doucement le goût de vivre, l’essence de mon existence.
- Je me sens inutile.
- En d’autres termes, la dépressiona sa source dans une situation que je vis face à mon territoire, c’est-à-dire ce qui appartient à mon espace vital, que ce soient des personnes (mes parents, mes enfants, mes amis, etc.), des animaux (mon chien, mes poissons, etc.), ou des choses (mon travail, ma maison, mes meubles, etc.).
- Le conflit que je vis peut être lié à un élément de mon territoire que j’ai peur de perdre ; à une disputequi a lieu sur mon territoire et qui me dérange (par exemple : les disputes entre frères et sœurs).
- Voici des expressions qui me montrent comment je peux me sentir : « Tu m’étouffes ! » ; « Tu me pompes l’air ! » ; « Fais de l’air ! ».
- Parfois aussi, j’éprouve de la difficulté à délimiter ou à marquer mon espace, mon territoire.
- Qu’est-ce qui m’appartient en exclusivité et qu’est-ce qui appartient aux autres ?
- Les personnes dépressivessont souvent très perméables à leur entourage.
- Je ressens tout ce qui se passe autour de moi et cela décuple ma sensibilité, d’où un sentiment de limitation et l’impression d’être envahi par mon entourage.
- Ainsi, j’abandonne parce que je trouve la charge trop lourde.
- Je n’ai plus le goût de vivreet je me sens coupabled’être ce que je suis.
- Je peux même avoir tendance à l’autodestruction.
- Je peux aussi avoir « besoin d’attention » pour m’aider à me valoriser ; la dépressiondevient à ce moment un moyen inconscient pour « manipuler » mon entourage.
- Le rire ne fait plus partie de ma vie.
- Peu importe la raison, je vérifie dès maintenant la ou les causes sous-jacentes à mon état dépressif.
- Ai-je vécu de la pression étant jeune ?
- Quels sont les événements marquants vécus dans mon enfance qui font paraître ma vie insignifiante ?
- Est-ce la perte d’un être aimé, ma raison de vivre ou la direction de ma vie que je n’arrive plus à voir ?
- Fuir la réalité et mes responsabilités ne sert à rien (par exemple : suicide) même si cela semble être le chemin le plus facile.
- Il est important de constater les responsabilités de ma vie car il me faudra plus que des antidépresseurs pour faire disparaître la dépression : je dois aller à la source.
- A partir de maintenant, je réalise je suis un être unique.
- J’ai des valeurs intérieures exceptionnelles.
- Je peux reprendre la maîtrise de moi et de ma vie.
- J’ai le choix de « lâcher » ou de « lutter ».
- J’ai tout ce qu’il faut pour changer ma destinée.
- En me responsabilisant, j’acquiers plus de liberté et mes efforts sont récompensés.
Selon le « Dictionnaire des Codes Biologiques des maladies » de l’asbl Téligaté :
- Diminuer la pression sur la tête.
- Symb. : Sur-Vivre « sataniquement » caché dans les ténèbres et les mensonges.
Définition : c’est une maladie à part entière qui peut toucher n’importe qui. Le rôle des neuromédiateurs est certain (substances chimiques à la base du fonctionnement des cellules nerveuses du cerveau), elle est favorisée par une névrose antérieure, les facteurs environnementaux, …
Dépression réactionnelle : suite à un événement malheureux (deuil, chômage, divorce, maladie, etc…)
Dépression endogène : aucune cause extérieure, le malade lui-même reconnaît avoir tout pour être heureux, mais ce constat reste sans influence sur son état.
Le baby blues : de la jeune accouchée qui serait dû aux perturbations hormonales qui suivent l’accouchement.
La dépression saisonnière : dépression uniquement hivernale, d’autant plus fréquente que le pays est nordique. Elle pourrait toucher des gens travaillant dans des lieux peu éclairés…
Symptômes : tristesse, pessimisme, perte de toute motivation, désintérêt généralisé, diminution de la libido, disparition des sensations de plaisir, perturbation de l’appétit (anorexie, boulimie…), inhibition physique, tout effort devient une difficulté, sensation de fatigue extrême, plus importante le matin que le soir, inhibition intellectuelle (concentration difficile, indécision, difficultés de mémorisation), troubles du sommeil, dévalorisation de soi (sentiment d’inutilité, de culpabilité,…), apparition d’idées suicidaires. La dépression peut aussi être masquée : douleurs diverses souvent variables dans leur topographie d’un jour à l’autre, troubles digestifs, etc.
Conflits :
Pour la femme gauchère avant la ménopause ou la femme droitière en pat hormonal, par exemple du fait de la ménopause, ou pour l’homme gaucher en pat hormonal, présentant un conflit de territoire actif.
Il faut être attentif à la latéralité du patient.
Invariant biologique : Territoire + pat hormonal, atténue l’expression physique du conflit, sentiment de dévalorisation et culpabilité = le symptôme. Donc si je continuais à me battre ou si je me battais, je ne pourrais que perdre.
Pat : Rétrécissement de ma féminité / masculinité.
Territoire : Mon territoire rétrécit jusqu’à disparaître totalement pour assurer la survie du clan.
Pat + conflit de territoire(rang, place) envahissant, perte, marquage.
Conflit de territoire Actif : Pour femme gauchère avant la ménopause – Femme droitière en pat hormonal, homme gaucher en pat hormonal.
Chez l’homme, désir, peur, ressenti conflictuel de dévalorisation + culpabilité.
Chez la femme, désir, peur, ressenti conflictuel de frustration sexuelle masquée ou la sexualité est vécue comme un territoire (chose gardée). Une gauchère est en dépression dès qu’elle vit un conflit sexuel, un conflit de territoire féminin.
Signe d’un conflit profond « Quel est le drame de ta vie ? »
« Misérable » (matériel, corporel, morale), pesant, coupable, menacé, à côté de ses pompes. Conflit d’être sous une charge, (l’ordre, le devoir, le mensonge…), un couvercle, un poids, un voile, un fardeau. La culpabilité.
La dévalorisation (mari, enfant, conjoint, parent, patron, employé). La place (la chaise, le territoire sexuel, les limites…).
Lié à la frustration.
Conflit de dévalorisation « je suis seul, personne ne s’intéresse à moi car je ne vaux rien, + culpabilité « je suis coupé des autres mais c’est de ma faute car je ne fais rien pour créer le contact avec les autres », + territoire (place) « Je ne peux plus prendre ma place ».
Trouble de l’instantanéité, de la mondanité (= trouble de la carte et de la représentation du monde), de la futuralité accélérée ou ralentie – Obsédée par la représentation du passé (le dépressif regarde ses pas, il regarde en arrière et non en avant).
Si je possède un territoire, (SDF, maladresse) une place (maison) ou si je montre ma puissance, je me fais descendre et donc, je me suicide pour arrêter le stress.
Se sacrifier par amour = renoncer à ses envies.
Se soustraire aux pressions, une façon de renoncer à trouver des solutions quand la vie affective est intenable.
Un abandon et un refuge.
Interdiction de prendre ma place d’homme/femmeet de faire ce dont j’ai envie. Suis-je un homme ou une femme à ma place ? Est-ce que j’utilise ma puissance d’homme/ de femme de manière (dé)placée ?
Dépression = sagesse interne. Comme si vous enleviez un bouchon et que le personnage gonflé artificiellement et maintenu par la « pression » de la volonté, allait se dégonfler. « Je vis depuis des années selon un mode de vie, des objectifs et des principes que j’ai cru bons ou que j’ai suivi faute de mieux. Pourtant je sais que quelque chose ne va pas, mais je n’ai pas le courage de tout changer, … ». Donc l’organisme, dans sa sagesse va déclencher la dépression.
Dépression chronique : Insatisfaction permanente liée à la famille.
Dépression atmosphérique : Le ciel me tombe sur la tête.
Inhibition pour survivre, pour ne pas tomber plus bas ou dans une autre dégradation de l’équilibre physiologique de santé.
Dépression cataméniale : Reliée aux règles, à la condition féminine.
Suicide : Quand on ne veut pas que je vive, mais que je nais et vis quand même.
Masque de la dépression : Nostalgie – Conflit d’être coupé en deux, une partie au ciel avec les morts, et une partie sur terre avec les vivants.
Dépression + perte de cheveux : Conflit de territoire.
FONCTION
Pour diminuer la pression en me mettant à un étage inférieur (au fond du trou), dans le 36edessous… en rentrant dans sa coquille, en faisant profil bas.
Pour ne pas mettre les choses en place à temps.
Pour déplacé (déportation)
Pour être à côté de la plaque
Pour éviter le plaisir et la satisfaction que je désire
Pour ne pas être à sa juste place (cf. feu, eau, lave, …)
Pour ne pas profiter de la vie qui est dangereuse
MOTS :
- Burn-out : asphyxie, anoxie à la naissance. Ce qui va donner une dépression.
- « Une chose à la fois » : ne pas terminer la chose commencée parce que cela va mal finir. Donc pat hormonal.
- Fainéant : fai(t)néant, faire le néant, néant fait (n’ayant fait). →regrets.
- Infecte : (homme) conflit de contrariété / d’envahissement dans le territoire, sans issue.
- Inversait : un verset, verser dedans. Impasse et irritabilité.
- Karma : temporalité, culpabilité. → dépression chronique.
- Mal : (à) terminé, a du – contrariété spatio temporelle dans le territoire ou le temps (vite) sans issue.
- Ordre : (rangement, désordre) -ordre = danger. → dépression.
- Passion : (= souffrir) – Conflit ou souffrance d’une situation sans issue qui fait mal.
- Proue : qui fend la mer pour avancer (Projet sens : né en forceps avec déchirure hémorragique du périnée).
- Prouesse : ne veut pas faire de.
- Trouée–Percée
- Photographe en noir et blanc : ouvrir la boîte voire à la lumière blanche pour laisser sortir le petit oiseau.
- Place – Temps→être en place à temps (pas de -place et mal-heureux) →Dé-placé.
Selon « La Clef vers l’autolibération » de Christiane Beerlandt :
La dépression, en général : Tu te sens dépressif.
Cause fondamentale :
- L’angoisse et la dépression sont des signaux t’invitant à opérer un changement dans ta vie : tu fais de grands efforts, comme si tu tirais de toutes tes forces sur quelque chose…
- Tu tâches désespérément de réaliser quelque chose, un chemin ou une ambition, ou de créer un changement chez les autres, chez ton conjoint ou à ton travail, et tu n’y arrives pas…
- Tous les efforts ne servent à rien, ça ne réussit pas.
- Ainsi tu te martyrises toi-même : tu tâches continuellement de brusquer certaines choses, en nageant contre le courant naturel, parce que tu le VEUX (ou voudrais) ainsi.
- Mais en fait tu es aveugle !
- Ce que tu veux absolument n’est peut-être pas bon pour toi : tes convictions profondes empêchent que tout se déroule sans encombre.
- Probablement ton vrai chemin se trouve très loin de celui-ci ; il est temps de lâcher prise et d’élargir ta philosophie de la Vie !
- Cette période sert à te mettre en contact avec ton Moi profond, pour que tu en finisses avec les angoisses et avec la mort ; pour que tu te livres à ton Moi Vivant et pour que tu apprennes à interpréter les signaux que tu rencontres dans le monde qui t’entoure, et qui ont été émis par ton Moi vivant.
- Rien n’arrive « comme ça » ; la vie fonctionne merveilleusement ; retrouve la confiance en toi, entre en action dans la direction que ton Moi profond t’indique par des signaux.
- Les choses du passé ont toutes eu leur signification ; le regret, la culpabilité et la colère se résoudront si tu parviens à une compréhension large de la vie elle-même.
- Tu te sens dépressif…
- « Du sucre », dis-tu, « de la cassonade délicieusement foncée, torréfiée », comme si c’était de cela que tu as besoin.
- Il s’agit de la symbolique d’un profond amour de soi… mais peut-être omets-tu de le développer et exiges-tu ou souhaites-tu qu’un autre te donne cet amour ; ou peut-être es-tu dur envers toi-même et considères-tu que tu n’as pas de voix au chapitre de la vie ?
- En ce cas, il est possible que tu te détruises toi-même par le feu de la convoitise par exemple, ou de l’insatisfaction, du « vouloir avoir » ou encore par le feu de la volonté d’être différent de ce que tu es, au lieu d’être plein de gratitude envers le fait que tu es qui tu es, en tant qu’être humain unique.
- L’atmosphère douceâtre de la framboise, une intense rondeur féminine-maternelle, colle à toi / en toi.
- Veux-tu plaire au monde extérieur ?
- Est-ce que toi aussi fais partie du troupeau où tout le monde pense, par exemple, que la peau doit être « bronzée » pour qu’on puisse la trouver « belle » ?
- Alors, tu es empêtré dans la toile de la mort.
- Il est temps d’en prendre conscience, de rompre avec le stupide culte de l’apparence qui prescrit des normes auxquelles l’être humain devrait prétendument répondre s’il veut être ‘comme il faut’, s’il veut être ‘beau’.
- « Tout cela est foncièrement absurde », voilà ce que dit la vraie Vie : « Cela n’a rien à voir avec la véritable bonté du cœur, ni avec la vraie beauté qui se développe à partir de l’intérieur, à partir du cœur et se cristallise dans le corps. »
- Il en va de même pour les ‘fausses valeurs’ : les performances, vouloir être le premier ou le meilleur dans un certain domaine, etc…
- Tu n’y réussis pas et ensuite tu te réprouves.
- Ce chemin-ci mène vers la mort :il est nécessaire que tu fasses tourner ton chariot vers ce que la Vie te demande… et tu deviendras heureux.
- Regardes-tu dans les journaux, cherches-tu la sensation ?
- Reluques-tu des images représentant ‘la mort’, quoique l’humanité n’en soit pas encore consciente ?
- Observes-tu, recherches-tu avec impatience, avec une curiosité avide, ce qui pourrait assouvir ton sensationnalisme ou ta soif de ‘te remplir avec…’ ?
- L’eau risque de couler hors de ta bouche, tellement la pulsion instinctive animale est forte.
- Comme tu t’enfuis, loin de ta propre Plénitude, de ton propre Contenu, de ta valeur !
- Il est possible que, comme une éponge, tu absorbes tout pour le retenir en toi, le garder près de toi : voilà ce qui mène aussi vers la dépression.
- Lâche prise… et blottis-toi au sein de la chaleur de ton propre cœur, bien profondément ; sois heureux et reconnaissant de ce qui est maintenant.
- Tu es ‘TOI’, à nul autre pareil.
- Que c’est beau.
- Nourris-toi dans cette direction.
- D’une part, tu voudrais dégainer ton épée d’autre part pas ; tu es comme un amphibie hésitant, comme une grenouille qui ne sait pas si elle continuera de patauger dans l’eau ou si elle viendra sur terre.
- Sache que tu es en devenir, afin de prendre pleinement conscience de ton JE, de ta valeur en tant qu’Être Humain.
- C’est comme si tu ne savais pascomment t’y prendre pour te transformer, mais les forces plutoniennes te donnent une bourrade : soudain, tu te renverses comme un champignon dans l’herbe, de manière uranienne, de sorte que tu es contraint d’abandonner ton ancienne vie et de prendre conscience que tu portes en toi tellement de spores, tellement de talents attendant d’être épandus pour construire une vie pleine de sens !
- Telle une poire, bourrée d’énergies et d’émotions, tu es assis sur le derrière, peut-être d’une manière qui frappe le regard ; mais il y a un déséquilibre, une inclinaison vers le côté gauche-féminin, et l’aspect affectif aspirant, absorbant, qui a été réprimé, commence à se ballonner.
- Pour que l’équilibre soit restauré, il t’est demandé d’accroître la Force Masculine et la robuste Force Féminine (non pas une sorte de féminité faible où l’on verse dans le rôle de victime).
Solution fondamentale :
- La vie n’est pas un événement à considérer avec fatalisme, mais il ne faut pas non plus vouloir forcer les choses.
- Lâche prise avec tout et suscite en toi les solutions : elles se présenteront,en réponse à la demande que tu émets.
- Aie confiance, cesse de te refuser obstinément à prendre la direction de la vraie vie.
- Ouvre-toi : ce qui est bon pour toi et ce qui te mènera au bonheur, c’est difficile à évaluer rationnellement d’avance ; donc suis les signes de ton corps et du monde qui t’entoure, et surtout les signaux que ton Moi profond te transmet continuellement.
- Ensuite suis ton chemin, conscient de toi.
- Te sens-tu vide et seul au milieu d’une masse de gens, est-ce que la vie t’ennuie et penses-tu au suicide ?
- N’arrives-tu pas à entrer en véritable communication avec les autres ?
- C’est toi qui ne cherches pas le contact avec ton moi profond, qui t’enfuis loin de toi, alors que c’est justement là que se trouve la solution.
- Tourne-toi vers les profondeurs de ton être et cherches-y ton Essence immortelle.
- Abandonne ta résistance à la Vie, et tu pourras éprouver la joie, elle colorera tout simplement à travers toi.
- Si tu entres en contact proche avec ton Moi Vivant, des contacts joyeux avec les autres s’ensuivront.
- Sens-toi comme un solide voilier, naviguant sur les mers dans un équilibre pur, le mât central se trouvant exactement au sein de la ligne médiane d’or.
- Quelle que soit la tempête qui fait rage, le bateau demeure inébranlable.
- Quelle est donc la maîtrise, la souveraineté que tu installes dans ta vie !?
- Tu ne te laisses pas bousculer par des sentiments, des émotions, des influences extérieures, qui aimeraient éventuellement manipuler ou infléchir ton sentiment.
- C’est le triangle parfait des forces des deux voiles solidement attachées au mât de bois central.
- Rien ne peut plus diviser ta force unitaire.
- L’union fait la force… alors, que ce soit dans le sens positif.
- Tu crois en toi, en ta force.
- Tu te sens en harmonie avec toi-même.
- Tu te tiens droit, ferme sur tes jambes : la force de la foi est en toi et tu sais qu’il est bon que tu sois, que tu sois « TOI ».
- Tu lâches prise vis-à-vis de tout ce qui est à l’extérieur de toi et tu sais qu’aucune tempête ne peut te faire chavirer.
- « Oui, je réussirai, j’arriverai à bon port. »
- Tu vis à partir de cette conviction intime et profondément ressentie, sachant que maintenant déjà, tu es une force unitaire de toute pureté, te reposant sur toi-même, oui, sur ton centre de force intérieur.
- Tu te donnes une solide structure à toi-même, ainsi qu’à ta vie.
- Tu ne doutes plus de toi ; tu ne doutes plus que cette Faculté d’être toi-même de manière puissante soit bien présente en toi.
- Tu te redresses vaillamment, sachant, sentant que ceci est la BASE d’une existence heureuse où la dépression n’existe pas.
- En toi s’installe un sentiment délicieux, rayonnant quant à ton propre JE : équilibre de la Gauche et de la Droite, des aspects féminin et masculin ; aucune partie n’est réprimée.
- Tu es à la tête de ta vie, de façon autonome.
- TOI tu peux vivre ton propre être, tu peux partager cet amour avec d’autres.
- Mais d’abord, tout commence auprès de toi-même : l’amour envers ton véritable et grandiose ‘Je Suis’.
- Tu es heureux du fait que tu puisses t’ériger toi-même, que tu puisses vivre l’expérience de ta vie, dans la gratitude.
- Alors seulement, au sein de cette force de la foi, pleine de bonheur, inspirée par ton propre ‘être’ sur terre, tu es capable de faire rayonner vers les autres aussi le soleil qui est à l’intérieur de toi.
- Construis d’abord une base solide en toi-même.
- Certaines expériences désagréables, certaines choses sombres qui se sont éventuellement produites… inconsciemment, tu les as attirées vers toi pour que tu puisses en arriver là : la force de la foi et l’amour de soi ; une harmonie en toi-même, d’une pureté magnifique ; te donner une structure ; ferme comme un poteau inébranlable planté sur la terre.
- Dans la pureté, dans la beauté authentique.
- Aussi longtemps que tu n’ ‘œuvres’ pas à tout cela dans l’amour envers toi-même, que tu ne crois pas en ton JE, que tu continues à t’orienter uniquement vers le monde extérieur, que tu ne vis pas à partie du joyeux noyau intime de ton cœur plein de perspectives prometteuses, la dépression ne peut s’en aller.
- Maintenant, tu reconnais avec amour ton être vigoureux et noble.
- Tu fais les pas que la vie te demande de faire.
- Et alors, le soleil perce à travers les nuages… tu ressens la joie pour ton propre Être et tu es plein de joyeuses attentes.