Le Psoriasis
Le Psoriasis
= Surproduction de cellules cutanées créant :
- un amas de cellules mortes.
- un épaississement de la peau.
- des plaques rouges épaisses ou en gouttes.
- des fragments de substances cornées blanchâtres qui recouvrent ces plaques.
= 2% de la population du globe souffre de cette maladie.
Peut signifier que :
- Nous avons vécu probablement :
– soit un choc émotionnel.
– soit un événement douloureux. - Nous sommes hypersensibles.
- Nous ressentons un très grand besoin d’amour et d’affection qui n’est pas comblé.
Ce « vide » affectif peut nous rappeler une période difficile de notre vie.
Nous nous y sommes sentis abandonnés ou séparés de quelqu’un ou quelque chose à qui nous tenions très fort. - Cette maladie implique une double séparation, c’est-à-dire que la séparation impliquera deux personnes différentes ou deux situations que nous aimons ou qui nous tiennent à cœur.
de personnes : mère, frère, sœur, conjoint…
Ex. de situation : un projet de travail par ex. (c’est un « bébé » symbolique).
Ex. Nous pouvons avoir été séparés de nos deux parents alors que nous étions enfant. - La peau sera « touchée » car, quand nous étions enfant, le besoin de contact physique était un besoin essentiel et indispensable, et ce, avec toute personne pour qui nous ressentions de l’amour et de qui nous nous sentions proches.
- Le ressenti de cette séparation que nous éprouvons à l’intérieur de nous, nous empêche d’entrer en contact, surtout par le toucher, avec les personnes que nous aimons. Le psoriasis apparaîtra dès lors.
- La peur d’être blessé nous tient à distance des autres.
- Le psoriasis est une protection contre :
– un rapprochement physique trop intime.
– une exposition de ma vulnérabilité. - Un conflit intérieur se déclare alors entre :
– notre besoin de nous rapprocher des autres.
– et notre peur qui nous fait rester à distance d’eux. - Nous mettons beaucoup d’énergie pour cacher notre sensibilité.
- Une grande angoisse existentielle nous habite.
- Nous nous tenons toujours prêt à fuir par peur de vivre un « tsunami » émotionnel. Nous nous méfions de nous-mêmes et de nos émotions.
- Nous sommes un organisateur né et nous gérons très bien les choses rationnelles… tant que nous ne sommes pas confrontés à nos émotions.
- Nous pouvons résister à notre côté intuitif.
- Nous pouvons douter de notre valeur.
Objectifs :
- Libérons-nous de nos schémas mentaux.
- Changeons notre attitude. Nous n’en avons plus besoin pour nous protéger.
- Acceptons notre sensibilité et ne la cachons plus. De grandes énergies pourront ainsi être récupérées.
- Apprenons à faire des choses pour nous-mêmes et non en fonction des attentes des autres.
- Acceptons de vivre des choses désagréables qui arrivent dans notre vie pour nous permettre :
– de grandir émotionnellement.
– de devenir plus forts.
– de nous sentir plus solides intérieurement. - Exprimons nos émotions !
- Ne réprimons pas notre agressivité. Elle est pleine de force et d’énergie et il serait intéressant de les libérer.
- N’ayons pas peur de nos sentiments.
- Cessons les combats contre nos énergies et nos sentiments. Nos angoisses disparaitront en libérant le fluide affectif naturel que nous bloquons.
- Ne refoulons pas nos émotions : ça nous rend malade.
- Ne nous sentons pas menacés par nos sentiments.
- Changeons notre vision de nous :
– nous sommes solides.
– nous sommes fiables.
– nous sommes capables de gérer nos émotions, de les amplifier et de les freiner. - En libérant tes énergies, tu te libéreras toi-même.
- Abandonnons nos angoisses : elles nous empêchent d’entrer en contact avec nous-mêmes. Or nous en avons besoin pour pouvoir entrer en contact avec les autres.
- Prenons conscience du réservoir de richesses qu’il existe en nous.
- Acceptons-nous.
- Accordons-nous de nous aimer.
Références:
– Jacques Martel : « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Editions Quintessence.
– Christiane Beerlandt : « La Clef vers l’autolibération ». Encyclopédie de la psychosomatique.