Psychosomatique C

Le Coma.

Le Coma.

Selon « La Clef vers l’Autolibération » de Christiane Beerlandt :

  • La Nature te borde dans un geste amical et protecteur : maintenant tu es en sécurité.
  • Au fond, tu voulais partir d’ici, sortir du temps, marcher inconsciemment vers la mort, parce que tu aspires au repos, parce que tu te sens impuissant, incapable de résoudre un ou plusieurs problèmes dans ta vie, ou incapable d’ ‘avoir’ une vie comme tu ‘voulais’ qu’elle soit.
  • Il s’agit d’une réaction affective, presque instinctive : là dans ton trou, tu es à l’abri, comme dans un utérus, où tu ne dois plus porter de responsabilités, où l’on ne peut pas te blesser.
  • Peut-être as-tu fui devant un obstacle dans ta vie, tu devrais le franchir, mais tu n’oses pas.
  • Inconsciemment, tu savais déjà que tu n’étais pas dans la bonne voie, sur ton vrai chemin de vie, mais tu n’osais pas agir différemment… maintenant tu as fui la transformation, les changements.
  • Affectivement c’en était trop pour toi, tu te sentais impuissant et saisi par quelque chose dans quoi tu ne voyais pas clair.
  • Angoisse.
  • Il est possible que tu aies posé tes « conditions » à l’égard de la vie et que tu n’aies pas obtenu ce que tu voulais… au lieu de te jeter dans les bras de la vie avec gratitudeet abandon, inconditionnellement.
  • ‘Être’, ‘Vivre’… en tant que ‘TOI’ !?
  • La personne comateuse choisira elle-même de vivre ou de mourir, quoique ce soit dans un état plutôt inconscient, sur la base de ses convictions.
  • Il est toutefois possible de lui parler : le je profond enregistra le message.
  • Le sentiment de sécurité, d’amour, d’être à l’abri, fera disparaître les angoisses.
  • La suggestion de Force, de Courage et de Conscience des possibilités énormes et puissantes qui se trouvent en chaque être humain, et donc aussi en cette personne, raffermira la Confiance en Soi.
  • Cette confiance peut mener à la joie.
  • La joie mène les énergies vitales et les éloigne de la mort.
  • La suggestion que sa vie sera une promesse, une renaissance, si elle veut, et qu’elle ne sera pas seule face aux choses, sera salutaire.
  • Dis-lui aussi que le Bonheur l’attend si elle vit dans la ‘gratitude’, sans avoir des exigences ou poser ses conditions vis-à-vis de la vie.
  • Si finalement cette personne a ses raisons de ne pas revenir à la vie, de rester « partie », elle est dans son bon droit.
  • D’une manière ou d’une autre, elle t’enregistre et elle t’ « entend ».
  • Parle-lui d’une façon positive.

Selon « Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies » de Christiane Beerlandt :

  • Le coma peut survenir à la suite d’un accident.
  • Il existe aussi des comas métaboliques (dont le coma acido-cétosique du diabète), des comas respiratoires et vasculaires.
  • Il arrive très souvent que, juste avant de me retrouver dans le coma, j’ai vu la mort arriver sur moi, comme si « ma dernière heure était venue ».
  • Au lieu d’être conscient à 100% de ce moment, le coma survient juste avant.
  • La « conscience » se débranche.
  • Souvent, lorsque je me réveille à la suite d’un coma, ma mémoire a effacé les moments de traumatismes intenses qui ont été vécus.
  • Ce qui produit un accident est une culpabilité reliée à la fuite face à une personne ou une situation.
  • Si j’ai de la difficulté à « dealer » avec cette culpabilité, je me réfugie dans un coma.
  • Le coma vient du grec « kôma »qui signifie « sommeil profond ».
  • Cet état est relié au désir intense de fuir une personne ou une situation.
  • J’ai tellement mal intérieurement que je me replie sur moi car je vis beaucoup de désespoir, de solitude ou de frustration.
  • Je veux me rendre insensible aux difficultés de la vie.
  • Je me protège par ce sommeil profond.
  • Il me rend insensible à ce qui se passe autour de moi.
  • Je préfère vivre cet état de conscience totale, jusqu’à ce que ma vie puisse être plus agréable.
  • J’ai une décision à prendre : vivre ou partir.
  • C’est la même décision à prendre dans le cas d’un coma diabétique qui est causé par un excès de glucose (sucre sanguin) dans le sang et plus particulièrement au cerveau.
  • Ma tristesse est tellement grande que j’ai envie de fuir ce monde dans lequel je vis.
  • Même si le coma peut durer de longues périodes (semaines et années), il est très important pour mes proches de me témoigner de l’amour, de l’affection et de me dire que la décision de partir ou de rester m’appartient.
  • Lorsque je suis dans le coma, mon cerveau peut être actif au point que je peux entendre les gens qui parlent ou ressentir leur présence et les impressions qu’ils dégagent même si moi, présentement, je ne peux pas bouger ou m’exprimer.
  • Il arrive que la peur de la mort me retienne ici dans l’inconscience.
  • Il faut donc me rassurer et me dire que je peux partir en toute sécurité si je le désire.
  • Si je peux voir les énergies d’une personne dans le coma, je peux remarquer qu’il y a une coupure importante des liens énergétiques, selon la profondeur du coma.
  • Il serait donc approprié de faire des traitements énergétiques pour régulariser la situation.

Selon le « Dictionnaire des codes biologiques des maladies » de l’asbl Téligaté :

  • Étym. : Grec : kôma = assoupissement, sommeil profond.
  • Como = arranger, mettre de l’ordre.

Définition :

  • État morbidecaractérisé par un assoupissement profondavecpertetotale ou partielle de la conscienceet de la vigilance, de la sensibilitéet de la motilité, avec conservationdes fonctions respiratoireset circulatoire(sauf dans les formes les plus graves).
  • Dans le coma vigil, les troubles de la vigilancese résument à une lenteur des réponses et une difficultéà exécuter des ordres simples.
  • Dans un coma dit léger, la personne possède encore les réactions de défense aux stimulations douloureuses avec deux stades : réactions adaptées ou inadaptées.
  • Dans le coma profond, le patient ne réagit plus à ces stimulations, il y a également un relâchement musculairel’absenced’un certain nombre deréflexeset une perturbationde la vie végétative. Le stade de coma encore plus profond est caractérisé par la perte totale de la vie végétative.
  • Le coma dépassé, à ne pas confondre avec coma prolongé, désigne la mort du cerveau.

Conflits :

  • Être hors de soi.
  • Fureur derrière, furieux.
  • « Pas de pensée de barrage »
  • Conflit de peur frontale de la mort en direct, mis à part l’impact du traumatisme.
  • Éparpillement, incapacité à mettre de l’ordre (como) dans sa vision du monde, dans son discours, dans son propre organisme.

Fonction :

  • Le cerveau me met dans le coma pour m’éviter de me voir vivre ma mort en direct (dans un rêve si on est poursuivi pour être tué, on doit se réveiller).

Verbe :

  • (Se) relâcher : muscles, réflexes, conscience, vigilance…
  • (Se) ressaisir
  • (Se) renforcer
  • (Se) reprendre
  • (S’) accrocher…