Famille Lamotte

1. Tout a un commencement…

Tout a un commencement…

J’ai décidé d’écrire et de rassembler toutes les informations concernant mon travail de développement personnel.

La question principale ici est : « Et moi, où est-ce que je me situe dans tout cela? »
La meilleure façon d’y voir clair n’est-elle pas de reprendre tout depuis le début?

Je me suis rendue compte que, peut-être que les recherches que je mène, la thérapie qui y est associée, peuvent aider d’autres personnes à se comprendre et à les apaiser quant à leur raison d’exister sur cette terre. Car, certains d’entre nous se réveillent, et se posent des questions. Parfois, on a l’impression qu’on a un petit vélo dans la tête, pédalant comme un fou, ne s’apaisant que quand on est complètement vidé et épuisé.

En 2005, j’ai été confrontée à des soucis d’origines diverses.  Le hasard m’a mis sur le chemin d’une thérapeute énergétique.

Et la quête de moi-même a commencé. Parce que, oui c’est une quête, et je peux dire au bout de toutes ces années, que ça ne s’arrête jamais. Juste que les questions qu’on se pose et les réponses qu’on y trouve, entraînent d’autres questions et de nouvelles réponses.

Et si au final, nous étions là pour faire cet énorme travail sur nous-mêmes, et pour élever nos enfants dans cette nouvelle énergie…

Que veut dire au final se réaliser ? Est-ce une réussite matérielle ou spirituelle ?

Pourquoi sommes-nous si insatisfaits ?

Il y a des jours où j’ai écrit ce que je pensais car je me suis rendue compte que j’avais cette fâcheuse tendance à minimiser tous les efforts que je faisais, voire même à les réduire à néant. Donc il fallait absolument travailler sur cette notion d’autodestruction qui m’habitait. En écrivant mes progrès, mes batailles, je me suis rendue compte de ce que j’avais réalisé et que j’étais une personne très courageuse.

Voilà donc un premier petit conseil que je voudrais donner : écrire régulièrement ce que l’on a fait aujourd’hui ou ces derniers temps. Parce qu’on a cette tendance désastreuse en nous à l’auto-sabotage. Nous sommes des terroristes de notre personnalité. Or, lorsque nous nous relisons, nous prenons conscience de notre histoire, du chemin parcouru, et que l’on est très loin, voire à des milliers d’années lumières, d’être des lâches et des fainéants. Il faut être très courageux pour entreprendre un travail sur soi. C’est une quête. Le but ne nous semble pas toujours clair, mais au fur et à mesure, on se rend compte que quelque chose se construit inexorablement. Je crois sincèrement qu’il faut continuer et ne pas renoncer. Renoncer serait l’erreur.

Par contre, ça ne veut pas dire qu’il faut y bosser 24h sur 24.

Il faut apprendre à se sentir satisfait de ce qu’on a réalisé aujourd’hui, s‘asseoir dans le fauteuil, jouer avec ses enfants, passer du temps avec les personnes qui partagent votre vie, car on mérite bien de se détendre et de se dire qu’on a bien bossé aujourd’hui et que maintenant, on a le droit et on se donne le droit de s’amuser.

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