Le Tendon d’Achille. = Tendon reliant le muscle du mollet à l’os du talon. = Tendon le plus puissant du corps humain car il peut porter une charge jusqu’à 400 kilos. Peut signifier que : Il existe un blocage entre nos désirs (tant physiques que spirituels) et leurs réalisations dans la vie concrète. Nous pouvons prononcer des phrases telles que : « Je ne suis qu’un… ». Pourquoi ? Parce que nous nous sentons comme un mulet sur lequel les autres viennent déposer leurs charges. Nous oublions de nous concentrer sur le principal, trop occupés ou attirés par des choses accessoires. Nous vivons peut-être : – de façon trop dépendante du monde extérieur. – orientés vers une société matérialiste. – tournés vers des performances. – attachant trop d’importance aux apparences. Nous pouvons nous montrer plein d’assurance en remplissant une certaine fonction, assumant des valeurs appartenant à d’autres, à un autre endroit ou à une autre époque. Un sentiment de vide peut nous habiter nous amenant à nous poser les questions suivantes : – Qui sommes-nous au fond ? – Qu’est-ce que notre VRAI Moi ? – Quel est notre contenu ? – Où se situent nos vraies valeurs ? – Quelles sont nos certitudes ? Quand on y regarde de près, nous constatons que l’être humain ne présente qu’un seul point faible, un « talon d’Achille » :son Moi profond. Si nous le perdons : – nous perdons notre immunité. – nous pouvons présenter de l’aigreur, de l’agressivité et de l’amertume. – les autres nous apprécieront difficilement car nous ne sommes pas nous-mêmes et ça se ressent. – nous nous sentirons exploités, blessés et insuffisamment appréciés. Nous pouvons douter de nous : nous croyons être « vulnérables ». Objectifs à atteindre : Continuons à mettre des choses en place pour réaliser nos rêves et atteindre les buts que nous nous sommes fixés. Recentrons notre attention sur l’essentiel et ne nous laissons pas distraire par des détails. Ressentons-nous et vivons-nous comme un être complet. Respectons-nous en osant affirmer nos sentiments et nos opinions. Abandonnons la frustration de nous-même. Fuyons les doutes concernant nos propres forces. Bannissons les fausses croyances et les valeurs qui ne nous appartiennent pas. Ne nous affirmons pas au travers du monde extérieur. Ne vivons pas dans l’obligation de, dans le « forcing ». Soyons souple avec nous-mêmes. Développons une assurance déterminée qui engendrera une saine action et une pure créativité. Vivons à partir de notre Moi. Prenons contact avec la terre ! Soyons fidèle à notre nature et à nos sentiments. Appuyons-nous solidement sur nos propres Pieds. Devenons autonome. Assurons-nous de notre invulnérabilité ! Références : – Christiane Beerlandt : « La clef vers l’Autolibération ». Encyclopédie de la psychosomatique. – Jacques Martel : « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Éditions Quintessence.